Kinotron: The Ramen Girl
The Ramen Girl. Un film de Robert Allan Ackerman avec Brittany Murphy, Toshiyuki Nishida...
Ayant eu le plaisir de faire un voyage à Tokyo récemment, jai été naturellement attiré vers ce petit film au pitch ultra balisé. Jugez plutôt. Abby est une jeune américaine qui vient de rejoindre son petit ami au Japon. Problème, ce dernier a la bonne idée de la larguer presque aussi sec. Situation inconfortable pour la blonde qui se retrouve avec un boulot sans intérêt dans un pays dont elle ne maîtrise absolument pas la langue. Un soir de déprime, elle se rend dans une gargote spécialisée en ramen (une soupe garnie de nouilles, aux saveurs multiples perso jadore ça) installée au coin de la rue. Pour Abby, cest une révélation. Ladresse devient son refuge, au grand étonnement du patron, un bourru au grand cur. Les choses saccélèrent lorsquelle se met en tête de devenir (sans trop que lon sache pourquoi) un chef ramen. Naturellement, lenseignement entre deux personnalités fortes qui ne se comprennent qualéatoirement va faire des étincelles.
Ma première grosse réserve est dordre physique. Je ne supporte pas Brittany Murphy. La plupart du temps jévite de la retrouver, mais il mest arrivé de marracher les yeux devant Les ex-de mon mec et Just married. Je trouve quelle joue comme une savate et quil ny pas plus quelconque. Dans ces conditions, difficile de supporter un film dont elle est la vedette. Le pire, cest quelle apparaît comme une sale chipie, capricieuse, incapable de faire un effort pour se faire comprendre bref une vraie plaie ! Les personnages nippons (ou gaïjins) qui lentourent ne sont pas beaucoup plus sympathiques. Le chef ramen passant la majeure partie de son temps à râler et avoir des gestes violents difficile de sémouvoir devant une relation maître-élève virant régulièrement sado masochiste dans les deux sens. Comme si ça ne suffisait pas, la ville de Tokyo est bien mal mise en valeur, en raison du traitement télévisuel prodigué par le réalisateur inconnu Robert Allan Ackerman. Vous laurez compris, ya comme un sushi